Le développement des échanges commerciaux entre la Métropole et la Chine, puis entre l’Indochine et la Chine généra un flux de capitaux important dans tout l’Extrême Orient. A l’aube du siècle, la Banque de l’Indochine ouvrit ses agences à Hong Kong, Changhai, Canton et Tianjin et très vite le volume d’affaire devint si important qu’il dépassa celui du siège de Saigon et dans les années trente a représenté la moitié des opérations de change de la banque. Lire la suite sur le site de la France en Chine.
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