L’ancien vice-président de la Commission militaire a été démis, hier, de ses fonctions.
Depuis la chute en 2013 de Bo Xilai, l’ex-prince rouge maître de Chong-qing, plus aucun dignitaire chinois ne peut se considérer à l’abri. Et moins encore depuis hier, où Xi Jinping, le président chinois, a fait tomber plusieurs têtes et non des moindres. L’affaire n’est pas anodine dans un pays où les dirigeants du Parti communiste chinois (PCC), comme ceux de l’armée, ont longtemps été considérés comme intouchables. Lire la suite sur les échos
Laisser un commentaire